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Comptes à rendre
Auteur : Baleze 
1/2

Date :    09-09-2021 15:50:28


Un début à tout, ... et la liste risque de s'allonger :
Agnès Buzyn, ministre de la Santé qui avait démissionné mi-février 2020 au début de l'épidémie de Covid-19, est convoquée ce vendredi à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris, en vue d'une possible mise en examen.
Cette convocation à la CJR, seule juridiction habilitée à juger des ministres dans l'exercice de leur fonction, a lieu dans le cadre de l'enquête menée depuis juillet 2020 sur la manière dont le gouvernement a géré cette épidémie.
--> ça rappelle une scène culte du cinéma :
youtu.be/HCTH4Gre0x0
Auteur : Baleze 
2/2

Date :    28-12-2023 19:07:08


Communication du Dr Gérard Delépine (chirurgien oncologue et statisticien médical) :
" En mai 2021, nous avions signalé l’hécatombe qui survenait constamment dans les semaines qui suivaient les campagnes de vaccination massives. Qu’il s’agisse des premiers apôtres des injections (Royaume-Uni, Israël) ou de pays moins peuplés (Emirats, Koweït, Mongolie, Monaco, Gibraltar), les huit semaines qui les suivaient étaient marquées par une surmortalité Covid qui dépassait fortement celle observée durant la période sans vaccin.
Les médias ont d’abord nié les faits pourtant établis par les données et les courbes de l’OMS, puis, devant l’évidence croissante de la surmortalité post-vaccinale, les médias l’ont attribuée au Covid -- sans même envisager qu’il s’agissait plus certainement d’un phénomène de "facilitation de la maladie" (antibody-dependant enhancement) par les vaccins, non reconnu par des essais bâclés.
Gouvernements, agences sanitaires et médias refusaient d’évoquer la possibilité de la moindre responsabilité des injections, et les "fact-checkers" , ne pouvant démentir la surmortalité observée, l’ont attribuée au Covid et à "l’efficacité retardée des vaccins".
Depuis lors, les pseudos vaccins ont montré leur totale inefficacité sur la propagation de la maladie qu’ils ont été incapables de ralentir et qu’ils ont même probablement facilitée, puisque le rythme mensuel de contaminations mondiales a été multiplié par six après leur généralisation
Les injections anti-Covid ont également fait la preuve de leur échec à prévenir les formes graves et la mortalité qui atteignait en novembre 2022 des taux 20 à 50 fois plus élevés dans les pays très vaccinés (Europe, USA) que dans ceux qui y avaient échappés (Afrique).
Cette inefficacité dramatique des pseudo-vaccins s’accompagne, de plus, d’une toxicité croissante avec le temps. Les médecins israéliens ont été les premiers à décrire les myocardites post-vaccinales, reconnues en surnombre aujourd'hui et auxquelles se sont depuis associés des morts subites, accidents neurologiques, troubles des règles et de la fertilité, apparition de "turbo-cancers"…
Parallèlement à la reconnaissance de ces complications post-vaccinales, une surmortalité, chronologiquement liée aux campagnes de rappel, est apparue dans tous les pays vaccinés, alors que l’épidémie Covid a disparu grâce à l’immunité conférée par Omicron.
Cette surmortalité toutes causes confondues est observée en France où elle a atteint 9 % de la mortalité attendue en 2022 (+53 800 décès, selon un graphique INSERM )
Le possible lien de causalité entre la vaccination Covid et cette surmortalité est renforcé par sa survenue dans des classes d'âge inférieures à 55 ans (où les risques de mortalité sont faibles et chez lesquels aucune cause connue autre que la vaccination ne l’explique) et après 85 ans (groupe vacciné à plus de 90 %).
Pour innocenter la vaccination de cette surmortalité croissante, Fanny Fontan et Libération inventent une "énième vague de Covid qui déferle à l’approche de Noël" (et qui n’existe pourtant dans aucun relevé, ni pour l’Institut national de la statistique et des études économiques, ni pour l’OMS) Pour tenter encore de disculper les injections anti-covid, Fanny Fontan et Libération citent des avis d’experts qui décrivent les lésions vasculaires typiques de la protéine spike et en accusent les " Covids longs" , en oubliant de rappeler que le vaccin Pfizer stimule la production de cette protéine toxique sans qu’on n’en connaisse la durée.
Pour tenter toujours de nier le rôle des injections anti-Covid dans la surmortalité, Santé publique France suggère que la hausse des décès pourrait être liée aux... effets tardifs des confinements dont ils nous avaient jadis tellement vanté les avantages supposés, alors que nous en dénoncions les résultats calamiteux : retard de prise en charge, isolement social plus important jouant sur les comportements, hausse de la consommation nocive d’alcool, difficultés d’accès aux soins...
Mais quand ils avancent comme possible explication de la surmortalité actuelle le "port du masque tombé en désuétude" (en l'absence d’épidémie ! ), ils atteignent là le sommet du ridicule.
Dans cet article trompeur destiné à disculper le rôle des vaccins dans la surmortalité actuelle, l’épidémiologiste Mircea Sofonea pose une question d’une brûlante actualité : " Ce surrisque qu’on observe est-il constant au cours du temps -- auquel cas, on va avoir une accumulation -- ou bien est-ce que cet effet va s’estomper au fur et à mesure ? "
Il est dommage que, en ne rappelant pas le rôle causal des injections à ARNm, il se soit privé d’aborder le problème crucial qui taraude médecins et malades : celui des traitements destinés à neutraliser les effets secondaires des injections anti-Covid.
Espérons que des chercheurs résoudront rapidement ce problème pour arrêter la nouvelle hécatombe post-injection. "

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